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Economie, Marketing, Commerce, Force de Vente, Ecologie

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La fuite des cerveaux africains

La fuite des cerveaux africains est comme tout problème africain, pas encore résolu.

Cette fuite intervient soit par la décision des étudiants expatriés de rester dans leur pays d’accueil, soit par la sortie de diplômés nationaux n’ayant pas d’opportunité d’emploi, soit pour des raisons d’instabilité politique, économique, soit pour… 

fuite_cerveaux.jpg

Ce qui est inquiétant, c’est que les difficultés du continent à la lumière des données socioéconomiques et les évolutions politiques récentes en Afrique incitent peu à envisager un retour au pays.

En plus, ces cerveaux en fuite qui sont capables de hâter la transition de leur pays vers une modernité et une démocratie confirmées et durables, ne s’attendent pas à être reçus en héros dans les milieux professionnels.

Les politiques désolent cette fuite des cerveaux mais ont du mal à trouver des solutions pour arrêter cela.

Pour l’étudiant ou le cadre qui reste dans son pays d’accueil, à force de s’intégrer dans son milieu d’adoption, il cesse quelques fois de connaître intimement ou même inconsciemment sa société d’origine avec ses malheurs et ses souffrances : il est dépaysé. Il devient à la fois un marginal dans son pays d’adoption et dans son pays d’origine.  Et cela reste quelque soit le nombre d’année passé dans ce pays. Ce qui fait que même s’il occupe un poste ou un statut élevé, il continue vivement à être préoccupé par tout ce qui se passe dans son pays.  Grâce aux réseaux sociaux, il essaie de diminuer quelque peu sont dépaysement en interagissant sur les sujets de son pays afin de prouver son patriotisme.

Les solutions que les politiques peuvent utiliser pour faire revenir les cerveaux aux pays sont l’encouragement de la diaspora, l’amélioration des conditions de travail et des conditions salariales, la mise à jour des universités en équipements et matériels nécessaires pour des enseignements de qualités…

Bonne lecture.

 

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S
A mon avis , c'est la faute des deux parties...les dirigeants doivent revoir leur politique aux niveaux de la qualité d'enseignement et les conditions de travail...Les étudiants aussi doivent à<br /> leur tour penser a rentrer chez eux pour améliorer et corriger le développement de leur pays en exploitant ce qu'ils ont appris durant leur cursus d'étude dans le pays d'accueil...
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M
Chez nous au Maroc, notre gouvernement a mis en place une politique qui encourage les cadres étrangers à rentrer et ça marche. C'est ce qui fait que le Maroc évolue. Dans les autres pays africains,<br /> les gouvernements ne prennent pas ce sujet comme un sujet important
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S
moi g croi que c la faute au dirigN ( africains) sils metai en place une politik pour les etudiant hors de leur pays dorigine davoir c kil fau apre les etudes..xa orai evtiter dotre de resteii<br /> travailler ds les pays etranger...
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Y
Avc le temps lè choz vnt changé.
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V
Je pense que le problème mérite d'être vu sous deux angles: tout d'abord il faut songer et ce de façon inévitable à la conception de politiques intélligentes basées sur les aspects économiques,<br /> conditions de travail, valorisation de l'enseignement local, etc. favorisant le retour des cerveaux vers les pays d'origines. Mais aussi et surtout sur le fait que ces étudiants doivent<br /> nécessairement prendre conscience que le developpement de l'Afrique, passe par le travail des jeunes générations. Ceci dit, il faudra developper une culture nationaliste ou panafricaniste forte,<br /> mais raisonnable; de sorte à établir des compromis. A mon sens, il convient d'aller "acheter les connaissances" en occident et investir le capital intellectuel acquis à la maison. Tout<br /> developpement necessite une part de sacrifices et le celui des étudiants est à mon sens de s'inscrire dans cette voie, afin de susciter et amener les reformes profondes des politiques, idéaux,<br /> etc., afin d'inscrire notre Afrique sur la liste des "nations fortes" à l'horizon 2050.
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N
AH , faudrait que nos dirigeants africains y songent. vue que l"avenir de l’Afrique passe par nous...jeunes citoyens dynamiques :)
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L
C'est de la faute des gouvernements africains si cela se passe. Ils gèrent mal les finances.
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