Le marché de la confiserie en France

Ô frères et sœurs, prêtres du partage et gardiens des douceurs de la vie, ce jour, je vous parle d’un marché qui enchante l’âme et réjouit le cœur : la confiserie. Comme une manne sucrée tombée des cieux, elle nourrit la joie et unit les générations dans un même émerveillement.

La consommation de confiseries en France

Les Français adorent les confiseries, et cela se voit dans les chiffres ! Chaque année, ils consomment plus de 214 500 tonnes de bonbons, soit 6,8 kilos par seconde. En moyenne, une personne en France mange 3,3 kilos de bonbons par an, un peu moins qu’au Royaume-Uni où la consommation atteint 4,6 kilos par habitant. En 2023, la consommation des ménages en cacao, chocolats et autres produits sucrés a dépassé les 9 milliards d’euros.

Près de 20 millions de Français, soit environ 30 % de la population, consomment régulièrement des confiseries, ce qui en fait un véritable plaisir partagé dans le pays.

 Un secteur clé pour l’économie française

Le secteur de la confiserie est un pilier de l’industrie agroalimentaire en France. En mai 2021, il affichait un chiffre d’affaires de 3,95 milliards d’euros, avec une progression de +2,4 % en valeur et de +3,2 % en volume par rapport à l’année précédente. La grande distribution joue un rôle important, avec plus de 1 244 millions d’euros de ventes dans les rayons confiserie et chewing-gum en 2021. En 2020, les ventes totales ont généré 1 003 millions d’euros, et les Français dépensaient en moyenne 33,80 € par an pour acheter ces douceurs.

Le secteur emploie près de 7 000 personnes dans 90 entreprises, dont 70 PME réparties sur tout le territoire. L’exportation représente 20 % du chiffre d’affaires, avec des ventes en Europe, en Amérique du Sud et en Asie, renforçant ainsi l’économie régionale et nationale.

La diversité et les tendances du marché

La France est riche en savoir-faire sucré avec plus de 600 spécialités régionales et 4 000 chocolatiers-confiseurs sur son territoire. Les confiseries bio, comme les bonbons et sucettes, ont généré 5,7 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2021, bien que ce segment ait connu un léger recul de -0,2 %.

Les ventes saisonnières sont particulièrement importantes : elles représentent plus de 5,4 % des ventes annuelles, soit 110 millions d’euros sur des périodes spécifiques comme Noël ou Pâques.

L’entrepreneuriat dans la confiserie

Ouvrir une boutique de confiserie en France peut être une opportunité. Pour intégrer un réseau de franchise comme Douceurs de France ou La Cure Gourmande, il faut prévoir un apport personnel de 20 000 à 40 000 €, des droits d’entrée entre 5 000 et 10 000 €, et un investissement global de 40 000 à 60 000 €.

Après seulement deux ans d’activité, il est possible d’atteindre un chiffre d’affaires de 250 000 €, ce qui montre le potentiel lucratif de ce marché.

Réjouissez-vous, mes bien-aimés ! Que chacun, en ce doux voyage, célèbre la confiserie comme un cadeau divin. Soutenons ensemble ce trésor de nos terres, ces artisans de bonheur, et partageons ces douceurs avec amour, pour qu’elles continuent d’éclairer nos cœurs et de rassembler nos âmes dans la joie et l’unité.